Assemble With Care - Chapitres 3 et 4

Bonjour ou bonsoir et bienvenue dans la suite du jeu Assemble with Care. Si vous n'avez

pas écouté l'épisode précédent, il est très recommandé de le faire avant d'écouter

celui-ci, sans quoi vous n'aurez pas toute l'introduction du jeu qui présente son

personnage principal ainsi que les premiers chapitres. L'écran du menu présente le

chapitre 3 intitulé Brisé. L'illustration est une figurine de soldat. Il porte une cape

violette qui descend jusqu'au socle de la figurine, violet également. Ses jambes sont recouvertes de bottes armurées dorée, son pied gauche se tient

sur un rocher. Il porte un pantalon marron. Son torse est lui aussi recouvert d'une

armure dorée. Il tient dans la main droite un livre ouvert et dans la main gauche une

épée tenue par le haut du fourreau. Il est barbu, moustachu, châtain avec les cheveux

courts. Son regard se porte vers l'horizon, pas devant lui mais plutôt à sa gauche,

ce qui est pour nous la droite de l'écran. Et on commence le chapitre.

L'illustration montre Maria sur la place de Bella Riva, de profil, avec la tenue qu'on

lui connaît habituellement. Elle a la tête légèrement penchée vers l'avant et est

très légèrement souriante. Après ma première réparation, j'ai passé le reste de la

journée à faire des petits boulots autour de la place.

L'illustration montre Maria debout, sans arrière-plan. Elle a un air inquiet, son regard est fuyant

sur le côté gauche. Sa main droite est remontée derrière son cou et le saisit. J'étais

épuisée de retour à l'hôtel, où un message m'attendait, me demandant d'effectuer une dernière visite.

L'illustration montre une maison du village. Les couleurs employées semblent vouloir nous

dire que nous sommes au début de la tombée de la nuit.

L'adresse me mena à une charmante petite maison à deux pas de la plage. Baignant dans

la lueur du soir elle avait l'air magnifique malgré la peinture qui

s'effritait et les tuiles cassées

L'illustration montre un nouveau personnage, joseph c'est un homme grand

élancé, il est habillé de manière élégante comme un travailleur de bureau

un pantalon marron une chemise couleur saumon on va dire, les manches bleues une

cravate jaune il a l'air un peu tendu son bras gauche est remonté contre sa

poitrine laissant apparaître la montre qui tient à son poignet gauche

il a les cheveux courts, les tempes grisonnantes, des lunettes descendant

assez bas sur le nez son regard est uyant et se porte vers sa droite. Un homme à

l'air pressé revêtant encore son costume après une longue journée au bureau

m'ouvrit la porte d'entrée vous êtes Maria je m'appelle Joseph, je suis le père

d'isabelle.

L'illustration montre la figurine de chevalier que nous avons vu dans le menu

du chapitre 3. Elle est cependant en plusieurs morceaux et l'on voit les mains

de Maria tenant un morceau dans chacune d'elles. Désolé qu'elle vous ait

dérangé ce matin entrez donc faisons

ça comme il se doit.

Sur le manteau de la cheminée, j'aperçus les restes d'une statue cassée.

Sans réfléchir, j'en pris un morceau.

L'illustration montre à nouveau Joseph, de profil.

Il est toujours très tendu, son bras droit est remonté le long de sa poitrine,

sa main droite saisit la base de son cou.

Ah, la statue de mon père, ou ce qu'il en reste.

Un autre moyen pour moi de le décevoir.

L'illustration montre toujours la statue du chevalier, brisée en plusieurs morceaux.

Elle a survécu pendant une centaine d'années dans la famille,

mais cinq minutes avec Isabelle,

et voilà. Vous pensez pouvoir la réparer ?

L'habituel gros bouton sur fond blanc à droite indique « restaurer ».

Et nous sommes sur l'écran de la réparation.

Le fond est ce qui semble être une table, en tout cas un plan violet,

qui est très agréablement baigné,

par de la lumière qui vient de l'extérieur,

filtrant à travers une fenêtre et projetant l'ombre des barreaux de la fenêtre

et l'ombre de plantes qui sont probablement situées devant cette fenêtre.

À gauche et à droite, nous avons 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7 morceaux de la statue.

Ça ne va pas être une mince affaire.

En bas à droite, toujours l'habituelle tasse de thé,

pour mettre le jeu en pause.

L'un des morceaux de la statue est dans une petite coupelle.

Et le seul autre objet que nous avons est un petit tube de colle de forme triangulaire.

Le bouchon aussi.

Il est blanc, il a une petite étiquette orange et marron.

Le bouchon est orange aussi.

Et il porte une petite goutte blanche qui ne nous laisse pas douter qu'il s'agisse de colle.

On va commencer à saisir les morceaux.

On verra la colle une fois fini ?

Je ne voudrais pas que les gens voient les fêlures.

Joseph voudrait que la statue ne donne pas l'impression d'avoir été réparée.

J'ai pris donc la plus grosse partie qui soit disponible,

qui est en fait une grosse partie de la cape et toute la jambe droite.

Je la retourne, la partie qui est cassée je la mets en face de moi et on va y appliquer

de la colle.

Je saisis le tube et je mets de la colle sur toute la surface et je repose le tube.

Maintenant essayons de trouver l'autre morceau qui va avec ceci, c'est le haut du buste.

Non, il est là, j'échange les morceaux de façon à essayer de trouver le bon.

On va peut-être commencer par autre chose.

On va commencer par le bas.

C'est possible que ce soit là ce que le jeu attend de nous.

Les parties qui sont cassées sont très faciles à distinguer.

Ces zones là sont violettes de la même couleur que la grosse partie du reste de la statue, tout

le socle et la cape du soldat.

Mais surtout elles apparaissent en hachures qui défilent.

On ne peut pas vraiment passer à côté.

On va essayer de trouver le bas.

On va mettre de la colle sur ces zones là.

Le jeu, dans toute sa sympathie, ne nous permet pas d'en mettre ailleurs.

Tout simplement.

Et on a collé donc la base et le pied, enfin la jambe droite et la cape, le bas de la cape.

Il va nous rester l'autre jambe qu'on va pouvoir venir

coller à la partie du socle.

Parfois je me dis que ma fille devrait porter un panneau d'avertissement.

Il n'est pas très gentil avec sa fille, Joseph.

J'ai compris qu'il était un petit peu agacé par le fait qu'elle ait cassé une statue

qui est un objet de famille, visiblement, mais quand même, on va pouvoir coller la

partie droite de la poitrine du buste.

Et on remet de la colle partout.

C'est un objet qui n'est pas très complexe à réparer, il suffit de noyer les parties

hachurées de colle à priori.

Je repose la colle et surtout il faut le tourner vraiment dans tous les sens.

Je continue à mettre de la colle sur la partie gauche du buste, j'ai dit droite mais en fait

c'est ma droite, c'est la gauche du personnage.

Et on va pouvoir recoller le bras droit ainsi que le haut du buste et le visage, enfin le

visage, le crâne, cette colle est assez forte pour faire tenir ça, ne vous inquiétez pas

mon Joseph.

Il nous reste le bras gauche, on colle, on place le bras gauche.

Celui qui porte l'épée, et voilà.

Porcelaine de Wentwood, la statue du chevalier est comme neuve, comme on la voit sur le menu,

et un gros bouton nous indique "terminé".

L'illustration montre Joseph qui a l'air beaucoup plus détendu, il est souriant, son

regard n'est plus fuyant, il a malgré tout les bras toujours pliés et serrés contre

lui.

Merci Maria, elle a l'air comme neuve.

Mon père voulait que je devienne quelqu'un, il n'avait le temps que pour ça.

L'illustration montre Joseph, mais un Joseph beaucoup plus jeune, les tempes ne sont pas

grises, il ne porte pas de lunettes, il a une tenue qui est assez proche de la précédente

mais qui est un peu plus décontractée, il a surtout une écharpe bleue surmontée d'un

ruban.

Il a un ruban comme un ruban de concours, jaune, doré.

Il porte dans sa main une enfant que l'on imagine très facilement être Izzy, que l'on

a rencontrée dans un chapitre précédent.

Et à leur gauche se tient une femme que l'on imagine être la maman d'Izzy.

Elle a un visage qui est assez ressemblant à celui de Joseph, elle porte un pantalon

marron.

Un pull jaune.

Une veste bleue.

Qui est assez identique à la tenue dans laquelle on a rencontré Izzy, qui s'habille comme sa maman.

Cette dame a une coiffure ample avec beaucoup de volume, elle est frisée très probablement.

Ses cheveux sont châtains et elle a des mèches assez longues qui lui reviennent sur le devant du visage.

Elle est évidemment très souriante puisque tout ça est un portrait de famille.

Alors que Joseph remettait la statue en place, elle se cognait au portrait de famille qui trônait fièrement à côté.

C'était donc le maire de Bellariva et c'était la maman d'Izzy, elle doit vraiment leur manquer.

L'illustration est focalisée sur le regard de Joseph, il est fatigué et fuyant en regardant vers le côté.

Désolé, je suis un peu fatigué. J'ai travaillé tard sur la préparation du festival.

Plus que quelques jours, on dirait que je vais encore devoir travailler tard.

L'illustration montre le regard de Maria.

Quand je disais à mes parents que je voulais partir, ils trouvaient toujours une excuse pour être occupé et éviter d'en parler.

J'imagine que c'était leur moyen de faire comme si ça n'arriverait pas.

L'illustration montre la figurine du chevalier dans son état d'origine, complète, une fois réparée.

Le travail de Joseph doit lui prendre beaucoup de temps, mais c'est peut-être son choix.

J'espère juste qu'il trouve du temps pour Izzy.

Le bouton à droite nous indique "continuer".

Le chapitre 3 vient de se valider.

Et le menu nous présente le chapitre 4, intitulé « Débrancher ».

Son illustration est un téléphone jaune à cadran.

Pour les plus jeunes d'entre vous, un téléphone à cadran, ce sont ces vieux appareils que vous avez peut-être vu quand même une fois dans un vieux film,

ou dont quelqu'un d'assez âgé vous a parlé.

C'est un téléphone avec un cadran rond.

Avec les chiffres qui vont de 1 à 0, le cadran est percé sur sa partie extérieure, est percé de trous ronds.

Et en fait, le principe de ce téléphone, c'est d'insérer le doigt dans le trou qui correspond aux chiffres qu'on veut composer,

puis de faire tourner le cadran dans le sens horaire, dans le sens des aiguilles d'une montre,

jusqu'à une petite barre métallique qui nous indique quand il faut s'arrêter.

Et donc, plus on va composer un chiffre élevé, le 0 étant le plus élevé, il vient après le 9, il est plus loin que le 9 sur le cadran.

Plus le chiffre à composer va être élevé, plus on va faire un grand tour de cadran, puisque le 0, par exemple, il est directement de l'autre côté de la barre,

donc il faut faire un tour complet au cadran avec le doigt, sachant qu'une fois qu'on est arrivé à cette barre, on lâche le doigt,

et le cadran revient tout seul dans sa position initiale.

Autant vous dire que composer des numéros à 8 ou à 10 chiffres pouvait être assez long, et que l'erreur se payait assez cher sur ce genre de téléphone.

On va donc réparer un téléphone à cadran. Quelle joie !

L'illustration est une de celles qui montre un des paysages à l'intérieur du village.

Le village de Bellariva, c'est une de celles qu'on a déjà vu.

Mon deuxième jour à Bellariva s'annonça lumineux et dégagé, une nouvelle matinée agréable et ensoleillée.

L'illustration montre la place de Bellariva, c'est celle avec l'église au fond.

En marchant en ville, je passais devant

les terrasses grouillant de clients en train de prendre leur café.

Je m'arrêtais, respirant l'odeur des grains de café moulus et des viennoiseries fraîches.

L'illustration montre un nouveau personnage qui s'appelle Carmen.

Carmen a la peau sombre. Elle est vêtue d'un pantalon, peut-être une jupe bleue,

dans lequel est enfiché un tablier bleu. Elle a un haut ample jaune, ce qui semble être une

serviette sur l'épaule. Elle a une énorme boucle d'oreille dorée. Une coiffure assez ample,

très sombre. Elle est souriante et elle a un regard un peu…

jovial, on va dire. L'arrière-plan illustre Carmen et semble être une terrasse de café.

On y voit une table de restaurant, sur laquelle est posé un vase, dans lequel se tient une rose.

J'étais sur le point d'y entrer quand la propriétaire de Carmen,

le café d'à côté, m'arrêta dans mon élan.

« Bonjour Maria, vous étiez là hier pour distribuer des prospectus, pas vrai ? J'ai un

travail pour vous. »

L'illustration prend un peu de recul sur l'arrière-plan qu'on a eu dans la slide

précédente. On y voit toujours cette table de restaurant avec le vase et la rose dedans.

On voit un peu plus le sol pavé. Très légèrement à droite, ce qui semble être une ardoise qui

indique café, avec un verre dessiné dessus. Et on voit surtout beaucoup mieux la façade

de l'établissement, avec un auvent assez typique rouge et blanc, en dessous duquel sont fixées des

lampes, des lampions un peu de fête foraine.

L'établissement était minuscule, timidement placé à côté de ses concurrents.

A en juger par les tables vides à l'intérieur, ses clients potentiels ne l'avaient pas non plus remarqué.

L'illustration montre Carmen à nouveau. Elle est un peu tendue. Elle a les bras tendus, points fermés,

le long du corps. Sa bouche est fermée. Son visage inquiet. Son regard fuyant sur le côté.

C'est un peu calme aujourd'hui, mais on vient de commencer. Ça va se lancer.

Pendant que Carmen discutait, elle s'approcha du comptoir et revint avec un vieux téléphone à cadran.

L'illustration est un plan serré sur le regard de Maria.

Au moins j'ai du temps pour préparer ma recette pour le festival. C'est une nouvelle spécialité

que j'ai élaborée. J'espérais pouvoir appeler ma sœur pour des conseils pour l'assaisonnement.

Mais ça ne marche pas. Vous avez une idée de ce que ça pourrait être ? L'illustration

montre le téléphone à cadran du chapitre qu'on a vu dans le menu. Et le bouton à

droite nous indique, comme d'habitude, restaurer. Et c'est ce qu'on va faire.

Alors on retrouve notre sol pavé en cercle qu'on a eu dans

un des chapitres précédents. Je ne me souviens plus lequel.

De part et d'autre, nous avons toujours la tasse de café en bas à droite. Au-dessus

d'elle, le téléphone à cadran. Il est posé, le combiné est remis dessus. En haut,

à droite, une petite coupelle pour les vis et autres menus objets. Et à gauche, nous

avons un outil, un tournevis. Et ce qui à mon avis sont des pièces détachées tout simplement.

Une petite cloche, parce que ces téléphones étaient effectivement dotés d'une sonnerie à cloche,

donc pas d'électronique, simplement un signal électrique qui faisait vibrer des petits marteaux

à l'intérieur d'une cloche pour faire du bruit.

C'est pour ça que ces téléphones font beaucoup de bruit, pour les gens qui les ont connus.

En général, la sonnerie de vieux téléphones à cloche comme ça,

vous en avez une dans votre smartphone moderne parmi les sonneries que vous pouvez choisir.

Souvent, il y a un truc un peu rétro.

Au-dessus de cette cloche, nous avons une petite carte électronique

que je vous détaillerai peut-être après, ça sera mieux.

Et tout en haut, dans une petite boîte, nous avons un fil, un strap,

c'est-à-dire un petit fil qui sert à connecter des points sur une carte électronique.

Je saisis le téléphone, je le place au milieu.

Je peux saisir le combiné et poser le combiné.

Vous pouvez le réparer, pas vrai ? Je ne peux pas me permettre de le remplacer.

Pas d'inquiétude.

Alors, le combiné téléphonique, effectivement, il est détachable

puisqu'il est branché sur une prise, il n'est pas solidaire du téléphone.

Je retourne le téléphone pour voir le dessous.

Et nous avons quatre vis.

Que nous allons nous empresser

Bien évidemment, on est normalement bien plus occupé que ça.

Et je termine ma phrase, que nous allons nous empresser de dévisser.

Je tourne donc avec la souris.

J'ai enlevé une vis.

Le jeu repose le tournevis tout seul à chaque fois, ce qui est assez pénible

puisqu'on veut enlever les quatre vis d'un coup, a priori.

Et puis, cesse de reposer.

le tournevis, jeu, tant que je n'ai pas terminé.

Je peux enlever le dessus, la partie en plastique du téléphone.

Et à partir de là, je vais voir l'intérieur.

Je le retourne de façon à l'avoir en face de moi.

Et l'intérieur du téléphone nous montre déjà un premier dégât.

Sur la partie arrière, à l'autre bout, le cadran est à l'avant du téléphone.

Et à l'arrière, à l'intérieur, nous avons les deux cloches qui vont servir à faire la sonnerie.

Il y en a une qui est...

Eh bien, tout simplement, partiellement cassée.

Donc, c'est sûr qu'elle ne fonctionnera pas.

Ces deux cloches sont tenues avec une vis.

On va dévisser celle qui est cassée.

On va enlever la cloche cassée qui ne nous sert plus à rien. Voilà.

On va la remplacer par une cloche neuve.

Vous noterez que Maria, qui est très douée, sort systématiquement

uniquement les bonnes pièces détachées dans le bon nombre.

Ça nous est bien pratique.

On va saisir une vis de façon à revisser cette cloche.

Et voilà, une première réparation de faite qui, à mon avis, ne suffit pas.

Il se trouve qu'on a encore devant nous une petite

partie sous un carter qui est protégé par une autre vis.

On va l'enlever de façon à avoir accès probablement à la partie électronique de ce téléphone.

J'ai donc enlevé cette partie carter et le jeu m'indique cliquez sur le câble et faites le glisser sur la

boîte à outils pour le détacher effectivement une fois que j'ai enlevé ce carter nous avons

plusieurs éléments: tout d'abord un petit circuit enfin en tout cas une petite partie en plastique

d'où viennent les cloches. Cette partie porte un symbole de cloche on imagine qu'en dessous il y a

l'électronique qui permet de commander la sonnerie.

Nous avons à droite une partie avec un logo de

téléphone et au bout de cette partie nous avons la prise sur lequel le combiné était branché je

précise que chacune de ces parties électroniques à chaque fois qu'on a un symbole

comporte un petit trou qui est en fait cerclé de violet et de vert. Il se trouve que c'est un

c'est un endroit on va pouvoir très certainement

brancher un câble. En bas nous avons une carte électronique qui ressemble un petit peu à celle

que nous avons en pièces détachées sauf qu'elle est cramée et il en manque un bout

on sait pas ce qui s'est passé mais en tout cas ça s'est mal passé. Il y a donc sur cette carte

que je vais vous détailler un petit peu plus maintenant, comme deux petits

circuits intégrés, l'un qui porte le logo du combiné avec

un petit emplacement pour un câble et l'autre qui porte le logo de la sonnerie, des cloches de la

sonnerie avec un petit emplacement pour un câble

aussi. Le câble qui relie les sonnettes les cloches

et le circuit intégré des cloches est présent, le câble qui relie le la partie combinée

qui relie le comment dire la prise du combiné et la

carte électronique du combiné lui n'est pas présent

mais en même temps, le port, la partie dans laquelle on

pourrait mettre le câble n'existe plus, elle a disparu elle

est dans la dans la partie manquante. On va donc enlever le câble qui reste, je clique et hop ce

câble est maintenant en l'air. Je saisis la carte électronique qui est cassée, je la pose, je vais la

remplacer par la carte électronique qui est neuve,

elle est quasiment identique. Je vais remettre le

câble à la puce électronique de la sonnerie, sur la carte électronique, je ne vous l'ai pas précisé

mais il y avait deux petits tétons gris qui sont en fait des diodes

des diodes électroluminescentes il y en a une pour chaque circuit donc une pour le circuit

de la sonnerie avec le logo des cloches et une pour le circuit du combiné téléphonique et en

reliant le câble des cloches et bien

cette diode s'est allumée pour le circuit des cloches

Maria nous dit "on dirait que les câbles sont mal branchés" alors pas qu'ils sont mal branchés c'est

qu'il en manque un et donc nous allons relier le port la prise du combiné téléphonique avec

le circuit électronique du combiné téléphonique et la diode s'allume, on dirait que ce nouveau

circuit imprimé est bien connecté, alors effectivement la partie électronique

elle a l'air réparé on va donc pouvoir remettre. Je n'ai pas

fini de réparer le téléphone, jeu, laisse moi finir. On va remettre le carter en plastique qui recouvre

on dirait qu'il manque quelque chose, alors attendez je vais

faire ce que je voulais faire peut-être que je vais pas assez vite pour le jeu, on recouvre le

la partie électronique avec son carter ce qui va nous faire apparaître le cadran. Il faut remettre

une vis, on recouvre l'ensemble avec le plastique jaune qui nous servait à décorer l'appareil, qui

est en fait la coque extérieure et nous allons remettre les quatre vis une par une. Donc à chaque

fois je clique dans la coupelle pour prendre la vis je la place dans son emplacement. On dirait

qu'il manque encore quelque chose, oui Maria doucement j'y viens j'arrive et je

fais un mouvement de droite à gauche avec mon tournevis pour revisser la vis et

je fais ça quatre fois j'en suis à la dernière et voilà. Je remets le téléphone dans le bon

sens, je vais replacer le combiné dessus et le câble se rebranche tout seul. Et voilà

Everdial, un téléphone à cadran. Le téléphone est maintenant réparé

L'illustration montre carmen qui a l'air inquiète elle a les mains

jointes comme si elle se les frottait comme si elle les pressait l'une contre l'autre. Alors

que je lui tendais le téléphone carmen semblait presque réticente à le récupérer

ça y est il fonctionne ? je ne dois pas le faire sécher ou le laisser refroidir ? Non tout est bon

il ne devrait plus tarder à sonner. l'illustration montre carmen qui est un petit peu plus détendue

elle est dans la même posture qu'au début, droite le bras droit le long du corps et la main gauche un

peu plus détendue posé sur la hanche ça dépend de si je peux payer ma facture téléphonique et

le loyer et les fournisseurs enfin bref asseyez-vous je reviens tout de suite la maison vous offre le

café

l'illustration montre carmen en train d'utiliser le téléphone de la main gauche

je m'asseyait à l'une des tables vide pendant qu'au comptoir carmen était déjà au téléphone bonjour

comment va ma soirée préférée aujourd'hui

l'illustration montre maria les bras à croiser elle a l'air un peu tendu elle a le regard porté vers le vers le ciel au fil de la discussion carmen semble de plus en plus tendue au déjeuner dans la salle est de 3h30 هنا un jour on a pensé c'est tranquille il s'en dira un peu désormais les ombres à la Fruit & P vocalisation par les gens ont amené l'analyse avec les gamimaux dans le View Spirit Harleyé m'a montré donc elle a pu prendre en main un petitlessly l'

Au fil de la discussion, Carmen semblait de plus en plus tendue.

Ça n'avait pas l'air d'un appel pour des conseils culinaires.

Je sais que je n'ai pas fini de te payer ce que je te dois de la dernière fois,

mais je ne peux pas participer au festival si je ne paye pas.

Je pouvais presque percevoir la personne rouler des yeux à l'autre bout du fil.

Pas la peine de venir ici, tu ne peux pas poster le chèque ?

L'illustration montre Carmen à nouveau tendue, les bras le long du corps, les poings serrés.

Elle a l'air inquiète, comme au début du chapitre.

Une fois l'appel terminé, Carmen m'apporte à mon café, les mains tremblantes.

Désolé, ma sœur a décidé de me rendre visite.

Oh bon sang, je dois me préparer.

Du coup, j'ai peut-être un autre travail pour vous.

Vous pouvez revenir demain.

L'illustration montre le téléphone à cadran, réparé.

Et le bouton continuer nous indique que nous sommes à la fin de cette conversation.

Et donc à la fin du chapitre.

Le chapitre 4 est validé dans le menu.

Et ce même menu nous présente le chapitre 5, intitulé « Images nettes ».

Et l'illustration montre un appareil photo que je ne vais pas vous détailler cette fois-ci.

Je vais plutôt vous remercier d'avoir suivi ce deuxième épisode, toujours pilote,

d'une émission qui s'appelle « Qu'ouï jeu ».

J'ai complètement oublié de vous dire ça.

Elle a un nom maintenant, elle s'appelle « Qu'ouï jeu ».

Avec un jeu de mots qui plaira aux amateurs de tréma et de caractères compliqués.

Je vous remercie d'avoir suivi cet épisode jusqu'au bout.

Je vous donne rendez-vous pour les chapitres suivants dans d'autres épisodes.

Et je vous souhaite une bonne journée, une bonne soirée, ou une bonne nuit.